16 février 2014
CROISSANCE NOUVELLE
La centralisation politique se double d'une centralisation économique. C'est un facteur de dépendance vis-à-vis de décisions prises ailleurs sur des critères qui ne sont que ceux de la rentabilité immédiate. Nous n'acceptons pas l'idée d'une régulation de l'économie par les seuls marchés. Le retour d'une croissance à l'ancienne est une illusion. Il faut en inventer une autre basée sur le mieux et non sur le plus. L’amélioration de la satisfaction des besoins sociaux, combinée à une conversion de l’économie vers une utilisation sobre des ressources naturelles, est une base pour une croissance nouvelle.
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